Continuer à apprendre…
 
 
 
Nous avons effectué des stages virtuels pendant les vacances de paques, et le résultat nous a agréablement surpris !
 
 
 
Nous avons utilisé Zoom, un logiciel de visioconférence, qui se prête parfaitement à l’enseignement du numérique en ligne. Zoom a de plus augmenté drastiquement leur niveau sécurité, suite aux difficultés liées à leur popularité montante et rumeurs diffusées sur des blogs.
 
 
Voici quelques-uns des avantages observés :
 
 
 
 
Partage d’écran des élèves :
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Le professeur peut facilement interagir avec le code d’un élève et lui montrer les problèmes grâce aux outils d’annotation de partage d’écran. De plus, tous les élèves peuvent voir la séance de « debugging » en commun et cela permet souvent d’analyser ensemble les erreurs classiques. Les séances de « debugging » en deviennent plus efficaces, aussi bien du point de vue des formateurs que de l’apprentissage des élèves.
 
 
 
 
Concentration des élèves :
 
Nous maintenons que le présentiel reste important, notamment pour le lien social et la capacité à former de nouvelles amitiés. Cependant, en cours de visu, il est très facile pour 2 copains/copines de se stimuler pour s’échapper en « délire comique » qui les fait décrocher du cours. En virtuel, l’élève ne peut pas dire à son voisin « regarde mon ordi ». Il y a bien sur la contrepartie où il est plus difficile pour le professeur de voir si un élève est attentif, mais l’exigence de la programmation montre rapidement ceux qui ne suivent pas, et permet de « corriger le tir ».
 
 
 
Cours multi-coach :
 
 
 
La création digitale étant une matière pratique, notre expérience nous a montré qu’au-delà d’un ratio de 10 élèves pour 1 professeur, la qualité se dégrade et on ne peut pas aider tout le monde pour le debuggage. Cependant, le virtuel ôte les limites de l’espace physique et on peut alors recourir à un fonctionnement multi-coach/multi-room. Ce procédé s’est avéré très efficace pour soutenir les élèves qui décrochaient et maintenir la cohésion du groupe. De plus chaque mentor a ses « mots différents » pour expliquer les choses, augmentant ainsi les possibilités de compréhension pour les participants.